Plus de 10 ans d'histoire
Plus de 10 ans d'histoire
La Ferme Maxiel a vu le jour en 1998. Entreprise de grandes cultures, elle produit du maïs, soya et des céréales. De 1998 à 2005, les opérations sur la ferme sont effectuées principalement par les propriétaires et fondateurs : France Perreault et Sylvain Giard.
À l’an 2000, un grand virage s'opère dans la manière de sécher le maïs. Au Québec, plus de 99 % des producteurs de maïs font sécher leurs grains avec des séchoirs étant alimentés au gaz naturel. Le coût élevé de ces carburants a fait en sorte que la famille Giard s’est tournée vers une ancienne méthode de séchage; une méthode sans carburant. Des structures d’entreposage - séchage ont alors été construites, et l’achat d’une récolteuse spéciale pour ce genre de récolte a été fait. Le maïs est entreposé entier dans la structure (Crib) pour y passer plus de 8 mois a être séché par la nature, le vent, le soleil et le temps.
En 2005, Mathieu Giard, l'aîné des trois fils, se joint à temps plein à la ferme. Dégageant ainsi un peu France de certaines tâches. Celle-ci décide donc de s’impliquer dans une organisation provinciale de gestion technicoéconomique des entreprises agricoles du Québec. Cette activité hors ferme l’amène à se rendre en France pour des conférences en gestion d’entreprises agricoles. Durant le voyage, elle remarque des structures d’entreposage de grains, presque en tout point identiques à celles construites à la ferme. En discutant avec les producteurs, elle comprend vite que leur but est de contrer le coût de séchage comme à la ferme, mais qu’ils en tirent des revenus avec les résidus d’égrenage (Rafles). Les producteurs vendent les rafles à des transformateurs qui font de la litière pour petits animaux (rongeurs, lapins, poules)....l’idée fait son chemin.
En 2013 Raphaël Giard, le plus jeune fils, souhaite travailler à la ferme. Son arrivée est chaleureusement accueillie. Toutefois, la capacité de la Ferme à faire vivre 3 familles devient préoccupante. Comment augmenter les revenus de manière significative pour régler cette préoccupation?
L’idée de la litière refait surface. Dès ce moment, tout se met en œuvre pour voir la viabilité du projet.
Fin 2013, les premiers sacs de litière sont mis en vente. Les produits de maïs suivent et finalement le foin qui s’ajoute. Tous les produits sous la marque « Les Petits Maxiel » font leur entrée dans la grande majorité des animaleries du Québec.
Aujourd’hui en 2023, forts de 10 ans d’améliorations de nos produits, tant au niveau de la qualité que de l’image et supportés par des ventes en croissances de 30 % par année en moyenne, nous sommes heureux de constater que nous avons vraiment notre place sur le marché des petits animaux.